Charte déontologique

Un accompagnement de qualité, inscrit au sein d’une démarche éthique et professionnelle :

  • 1. Le secret professionnel

En qualité de coach certifié, je m’engage à garantir la confidentialité absolue de toutes les informations qui me seront confiées ou auxquelles j’aurais accès dans l’exécution de ma mission.

 

  • 2. La vision du coaching 

Le coach respecte la dignité et l’intégrité de ses clients et promeut leurs ressources propres. Il leur apporte un soutien constructif inconditionnel, les aide à se fixer des objectifs motivants et épanouissants et à donner le meilleur d’eux-mêmes. Il les accompagne dans la mise en œuvre des moyens les plus rapides et les plus efficaces qui leur permettront d’atteindre leurs objectifs.

 

  • 3. Professionnalisme

3.1. Formation professionnelle. Le coach a suivi une formation professionnelle qui lui a permis de se spécialiser dans le domaine du coaching. Ses compétences à exercer professionnellement ont été validées par l’organisme ou le formateur qui a dispensé cette formation. A la demande de ses clients, il leur fournit une information claire sur la nature de sa formation et les différentes qualifications obtenues. 

3.2. Mise à jour de ses connaissances. Le coaching n’est pas une profession aux connaissances figées et les coaches consacrent régulièrement une quote-part de leur temps à l’actualisation de celles-ci. Ils se tiennent au courant des développements réguliers de leur profession et s’inscrivent dans une dynamique continue d’évolution professionnelle.

3.3. Expérience personnelle du coaching. Les coachs considèrent que l’expérience personnelle du coaching est l’une des composantes nécessaires à la compétence et à la crédibilité d’un coach, qui se doit d’avoir vécu un parcours personnel dans ce domaine. Un coach continue à faire appel aux services de collègues quand il en perçoit l’intérêt dans sa vie. De façon plus générale, il est engagé dans un cheminement d’évolution personnelle. 

3.4. Supervision régulière. Un coach possède un lieu de supervision régulier où il fait le point sur sa pratique et continue à la faire progresser en vue de fournir les services de la meilleure qualité possible à ses clients. 

3.5. Pratique du télé-coaching et utilisation d’internet. Les coaches considèrent le téléphone, Internet ou d’autres technologies de communication à distance comme des outils, utilisables dans la pratique de leur activité. 

3.6. Refus d’une mission. Le coach est en droit de refuser une mission si elle ne lui semble pas conforme à son éthique, à ses compétences ou à l’intérêt de la personne ou de l’organisation. Il oriente alors le client vers d’autres solutions.

 

  • 4. Protection des clients

4.1. Volontariat. La personne coachée, si elle n’en est pas à l’initiative, doit être volontaire pour bénéficier de ce service. Le coach procède, le cas échéant, à la vérification de cet engagement. 

4.2. Respect des intérêts du client. Un coach s’assure que son intervention sert les intérêts de la personne coachée et de son organisation. Il veille à agir avec un haut niveau d’intégrité et de fiabilité pendant toute la durée de la relation de coaching. II vérifie qu’il a compétence à intervenir dans les domaines pour lesquels on le consulte. Dans le cas contraire, il propose d’autres orientations qui lui semblent plus adaptées. 

4.3. Confidentialité Il garantit le respect des engagements pris contractuellement et se tient à la règle de confidentialité, dans la limite que lui impose la loi de son pays. Il s’assure que les informations échangées le sont au bénéfice de son client et non de la promotion personnelle ou professionnelle du coach. En ce sens, un point peut être fait en fin et/ou en cours de mission entre la personne coachée, l’entreprise et éventuellement le coach, selon des modalités prévues initialement et qui, en tout état de cause, respectent l’intégrité de la personne coachée ou de l’organisation. Mme REGNER s’engage pendant toute la durée du présent contrat et sans limitation après son expiration, à la confidentialité la plus totale et à une complète discrétion, concernant toutes informations auxquelles elle aurait pu avoir accès dans le cadre de l’exécution du présent contrat.

4.4. Arrêt d’une mission Si, au cours de la relation de coaching, il constate qu’il ne lui est plus possible de fonctionner selon les termes du contrat ou de maintenir sa posture de coach, il est dans l’obligation éthique d’y mettre fin en expliquant clairement les raisons de sa décision. Dans la mesure du possible, il veillera à proposer d’autres options à son client.